Le cas de la France
La formation professionnelle des jeunes se voit assigner en France les mêmes objectifs que dans l’ensemble des pays de l’OCDE: élever le niveau général des qualifications, augmenter la proportion des diplômés en fin de scolarité, améliorer l’insertion professionnelle des jeunes, répondre aux besoins de recrutement des entreprises. La spécificité française tient à la coexistence de trois filières pour la qualification initiale : voie scolaire, apprentissage et professionnalisation. Fruit d’une longue histoire, cette configuration suscite des interrogations dans un pays où les sorties d’école sans diplôme sont encore nombreuses, les difficultés d’insertion sévères pour les moins qualifiés et le taux d’emploi des jeunes inférieur à la moyenne européenne. La pluralité des filières est-elle la meilleure réponse aux objectifs poursuivis ?
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La formation professionnelle des jeunes se voit assigner en France les mêmes objectifs que dans l’ensemble des pays de l’OCDE: élever le niveau général des qualifications, augmenter la proportion des diplômés en fin de scolarité, améliorer l’insertion professionnelle des jeunes, répondre aux besoins de recrutement des entreprises. La spécificité française tient à la coexistence de trois filières pour la qualification initiale : voie scolaire, apprentissage et professionnalisation. Fruit d’une longue histoire, cette configuration suscite des interrogations dans un pays où les sorties d’école sans diplôme sont encore nombreuses, les difficultés d’insertion sévères pour les moins qualifiés et le taux d’emploi des jeunes inférieur à la moyenne européenne. La pluralité des filières est-elle la meilleure réponse aux objectifs poursuivis ?
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