... ou à l’élève ?
L’analyse psychologisante de l’échec scolaire ne peut en aucune cas être constructive. Éludant ce qui reste la finalité essentielle de l’école, elle s’attache pour défendre cette dernière à lire les causes de ses échecs dans les enfants et les adolescents, allant chercher jusqu’aux «fondements neuronaux des apprentissages». Dans ce projet de transformation psychologique des élèves et des enseignants je ne peux que lire un projet d’adaptation maquillé aux couleurs d’un «nouvel humanisme» dont seule «l’éducation psycho-sociale» ouvrirait la voie – dans la joie – et dont la charge reviendrait à l’école. C’est là un trompe-l’œil qui remplit bien son rôle, il évite d’avoir à regarder la réalité.
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