Sur l’île de Montréal, en 2009, la proportion d’élèves du primaire et du secondaire dont la langue maternelle n’est ni le français ni l’anglais (40,6 %) surpasse celle des élèves dont la langue maternelle est le français (38,1 %). La tendance que l’on observe va dans le sens d’une augmentation soutenue de la proportion d’élèves allophones au sein des effectifs scolaires montréalais.
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