Une étude se penche sur la question
Les enseignantes et enseignants du jardin d’enfants en Ontario
ont rapporté que près d’un de leurs élèves sur trois (29 %) était considéré
comme «vulnérable» ou «à risque» dans ses habiletés linguistiques et cognitives.
Ces élèves étaient beaucoup moins susceptibles d’atteindre les normes
provinciales en lecture, écriture et mathématiques à la fin de la 3e année que ceux qui étaient considérés comme «prêts» ou
«très prêts». Ces constatations figurent avec d’autres dans une étude portant
sur les progrès de 4 676 élèves de langue française en Ontario dans les
premières années d’école, diffusée aujourd’hui par l’Office de la qualité et de
la responsabilité en éducation (OQRE).
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